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Cagnotte Nael Policier – En revanche, l’élite dirigeante française a été d’un silence embarrassant sur le nouvel effort du raciste égyptien Jean Messiha. Le fonds de la honte a atteint une somme incroyable, dépassant de loin la collecte originale de la famille de Na’l.

Les internautes s’indignent du soutien officiel et financier inégal apporté aux parties impliquées dans ce drame, dont Nal a été la seule victime avant d’être tué par la police. Pour paraphraser le tweet de Mounir Mahjoubi en 2019 : “Apparemment, ça concerne le fait de frapper un flic.” Personne n’a dit : “Apparemment, cela rapporte qu’un policier a tué un lycéen.”

Les membres du gouvernement Macron et de la classe dirigeante française condamneront-ils le lancement de la cagnotte de la honte créée en soutien au policier actuellement mis en examen pour homicide volontaire, c’est-à-dire meurtre, de la même manière qu’ils sont passés à leurs pieds en 2019 pour dénoncer la levée de fonds pour Christophe Dettinger au nom de la morale et de la dignité ? Pour citer le tweet d’un responsable gouvernemental : “Cet argent donné pour le meurtre”.

A l’époque de la cagnotte Christophe Dettinger, Marlène Schiappa avait déclaré, “Soutenir cette cagnotte, c’est être complice de cet acte et encourager les violences.” Pour paraphraser, personne ne pourrait dire : « Soutenir cette cagnotte est complice de ce meurtre et encourage les violences policières criminelles.

Le gouvernement français et la classe dirigeante vont-ils insister pour que la campagne de financement controversée lancée par le fasciste polarisant Jean Messiha au profit du policier mis en examen pour homicide volontaire soit arrêtée par respect pour Nal et sa famille et au nom de la morale ? , comme cela a été fait en 2019 avec l’affaire de la “cagnotte Christophe Dettinger” ?

Un grand nombre de citoyens français sont prêts à payer pour l’exécution d’un mineur en raison de la forte concentration de fascistes dans le pays. C’est la situation avec le tueur de Nahel. Le policier de Nanterre qui a brandi son arme et hurlé qu’il allait “se mettre une balle dans la tête” avant de tuer froidement l’adolescent.

Florian Menesplier, le flic voleur, est un ancien militaire qui a fréquenté l’école privée catholique Sainte-famille Saintonge avant de s’enrôler dans le 35e Rifles puis d’intégrer la police. Il a vraiment foiré en commettant ce crime. C’est une réalité horrible qui semble impossible à croire. Il y a environ trois jours, le militant d’extrême droite controversé Jean Messiha a publié une “cagnotte de soutien” au tireur. Dimanche, ils ont récolté plus de 700 000 euros.

Pour cette somme incroyable, les camarades motards du tirer de la région des Hauts-de-Seine ont lancé une cagnotte qui a rapporté à elle seule environ 50 000 euros. Preuve en outre que les forces de l’ordre ne sont pas des “brebis galeuses” et que les événements en question ne sont ni des “bavures” ni des “dérapages”. Lorsque des brutalités policières se produisent, un réseau de soutien important et bien organisé au sein de la communauté des forces de l’ordre entre en action, soutenu par d’importants moyens financiers et médiatiques.

Le racisme et la propagande policière ont atteint un niveau record, au point que ceux qui assassinent un jeune d’origine maghrébine sont généreusement récompensés. Un donateur anonyme alias “Jean Culas Mélenchon” a envoyé 1102 euros, parmi d’autres dons à quatre chiffres. Il y a de riches fascistes en France qui sont prêts à se mettre près d’un SMIC juste pour financer un tueur en uniforme. Afin de lui prodiguer des éloges monétaires.

Pour avoir tué un adolescent, Florian Menesplier pourrait bientôt devenir multimillionnaire. A ce rythme, le policier peut acheter une résidence secondaire et éventuellement prendre une retraite anticipée.

Il s’agit évidemment de plus que d’un simple soutien; c’est un symbole : payer pour la suppression des quartiers et une manifestation suprémaciste blanche. Il s’agit d’une représentation financière de tous les partisans de la loi et de l’ordre, des syndicalistes de la police et des fascistes que le gouvernement français prétend avoir.

Auteur : Par Khider Mesloub Un ex-boxeur du nom de Christophe Dettinger a été filmé lors du mouvement des Gilets jaunes en train de frapper deux policiers lors d’une manifestation le 5 janvier 2019 à Paris. L’un de ses bailleurs de fonds avait une cagnotte en place le lendemain sur le site Web de la société Leetchi.

Deux jours plus tard, sous la pression de l’administration Macron, « choquée », selon ses termes, par le soutien financier apporté à un « voyou » devenu le « héros national » des Gilets jaunes, la société Leetchi est contrainte de fermer la cagnotte, qui était passée à plus de 145 000 euros.

Plusieurs membres de l’administration Macron se sont opposés à l’effort de collecte de fonds à l’époque parce que « cet argent a été donné pour la violence », comme l’a dit un membre de la majorité Macron. Le secrétaire d’État à la Cybersécurité, Mounir Mahjoubi, avait tweeté : “Apparemment, ça concerne le coup de poing à un flic”. Quand l’attrait de l’argent se mêle à la haine et à la violence, je ne peux m’empêcher de me sentir repoussée.

Concernant la cagnotte, objet d’une longue bataille judiciaire entre Leetchi et les époux Dettinger pendant plus de deux ans (pendant laquelle Leetchi a exigé que les Dettinger lui versent l’intégralité de la somme perçue plus deux millions d’euros de dommages et intérêts), la Le tribunal de Paris a finalement tranché le “sort” de l’affaire le 6 janvier 2021.

Après plusieurs renvois, le tribunal a finalement rendu une décision, statuant contre le paiement de la cagnotte aux Dettinger et ordonnant à la place à Leetchi de rembourser tous les donateurs. Selon la défense, le tribunal a jugé que la cagnotte n’avait pas commencé à payer les honoraires d’avocat de l’ancien boxeur ni à subvenir aux besoins de sa femme et de ses enfants.

Ce qui aurait dû être légal. L’intention initiale des jeux d’argent en ligne était de soutenir une lutte qui s’appuyait sur la force physique contre les autorités. La collecte de fonds pour une telle cause « porte manifestement atteinte à la moralité et à l’ordre publics dans la mesure où elle doit être considérée comme une fin illicite », a souligné le tribunal.

L’ancien boxeur n’a finalement pas frôlé cette somme.

Après avoir été gardé en observation pendant 48 heures après la mort de Nal aux mains de la police, le suspect qui a tiré le coup mortel a été emmené pour interrogatoire, soupçonné de meurtre. Personne n’a affirmé par écrit qu’il s’agissait d’une exécution réelle. Pour sa part, l’Association des Ami.e.s de Maurice Rajsfus a mis l’accent dans son communiqué : «

Une fois de plus, l’enregistrement vidéo amateur d’un témoin de la scène du crime à l’aide de son téléphone portable a permis de faire dérailler les mensonges et faux témoignages des deux policiers qui se disaient en danger imminent et avaient droit à la protection juridique dans leurs déclarations initiales.

Compte tenu des preuves présentées ici, deux policiers corrompus devraient faire l’objet d’une enquête pour possible homicide volontaire. Le lanceur doit être identifié, ainsi que son “collègue qui peut être entendu, sur les enregistrements, encourageant le tireur à tirer”.

les racistes en France se sont mobilisés pour soutenir le policier qui a tué Nal en lançant une cagnotte en ligne, emmené par l’ex-soutien d’Eric Zemmour Jean Messiha. Au moment où j’écris ceci, plus d’un demi-million d’euros ont été donnés.

Cette levée de fonds controversée en faveur du policier qui a tué Nal à Nanterre n’a pour l’instant suscité que l’indignation des internautes et d’une petite partie de la population française. Comme si cela ne suffisait pas, certains défenseurs des droits de l’homme et militants anti-discrimination se prononcent contre la proposition parce qu’elle était dirigée par un raciste notoire. Ces groupes et militants soutiennent que le racisme sous-jacent dans la société française se reflète dans cette opération de soutien financier.

Au contraire. Selon Counter-Attack, “il s’agit d’une véritable mobilisation silencieuse en faveur d’un criminel en uniforme”. L’officier responsable de la mort de Nal aura assez d’argent pour engager un avocat de premier ordre et s’installer dans une belle colonie de son choix. Quel outrage meurtrier à caractère raciste ! De plus, l’agent a déjà demandé à être libéré, et sa demande sera entendue la semaine suivante. La justice s’est montrée rapide et efficace face à ce délinquant.

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